dimanche 2 septembre 2007

fantasmes

C'est ça de rencontrer des mecs sur des sites de cul: parfois on "tombe" sur des mecs un peu... chauds! L'informaticien aime aller en club. En club très hot, cela va sans dire!... Comme prévu, j'ai eu un message plus tôt dans la soirée. Je venais de parler au magicien, sans oser lui proposer de venir passer la soirée avec moi: s'il l'avait voulu, il me l'aurait demandé. Je n'ose rien lui proposer, peur qu'il s'évanouise à tout moment dans la nature, et son amitié m'est précieuse, lui pense que je m'attache trop au point de me dire au moment où nous faisons un calin torride que je ne dois pas m'attacher à lui...
Donc l'Informaticien me contacte sur msn, je lui dis que je suis un peu chaude et que je suis heureuse qu'il soit de retour dans le département. Une demi-heure après il était chez moi. On a un peu bu (très peu!) puis baisé. J'ai su le convaincre, lui voulait bouger en ville, en club. Puis il m'a convaicue d'aller avec lui, en ville boire un verre... dans un de ses clubs favoris. ma tête va à toute vitesse, j'ai déjà bien bu aujourd'hui. Je me laisse convaincre. Ces clubs on en fait tout un fromage: c'est juste une boite. Un bar, une piste de danse... Et à l'étage des pièces. Avec matelas à terre. Miroirs sans tain qui donnent sur le couloir, dans des renfoncements avec rouleaux de sopalin. Filles qui dansent sur scène avec les seins à l'air. Gens qui se touchent sur les banquettes. Il me paie des verres de champagne, à gogo... Ma tête chancelle. Un parfait gentleman, de toute façon je le sais "vidé", il est plutôt lent à récupérer. Si je l'ai suivi, c'est que je lui fais confiance. On se laisse une certaine liberté, il va danser seul, à ma demande, certains essaient de m'approcher, je les éconduis gentiment, d'un sourire, le patron me ressert en champagne, sans arrêt, mais je suis rassurée qu'il reste à proximité. Quand je lui demande de m'accompagner aux toilettes parce que je suis un peu craintive, des hommes dans les couloirs en profitent dans ces boyaux étroits pour enfiler leurs mains sous ma jupe. il les mitraille du regard, on me laisse en paix. Le patron est aux petits soins, un "amour"! On essaie de trouver une "chambre", c'est à dire une des deux seules pièces sans miroir: occupées! J'ai envie de lui, maintenant tout de suite, je sens son membre gonflé sous son jean. Il m'entraîne dans une autre pièce, avec de magnifiques miroirs. Lumière sourde et bruit de musique qui vient d'en bas. Les alèses sont en plastique, il me demande une gâterie. Je ne cède pas. Je sais que ça l'excite, j'imagine que même si une pièce "fermé" avait été libre, il aurait préféré celle-ci. J'entends les voyeurs derrière, qui se bousculent. Il faut dire que sur les banquettes, il me chauffait à mort, me caressant les seins, et les cuisses, et oui, aussi plus haut! Ils ont senti le truc arriver, les "sadiques", on les sentait derrière nous dans les escaliers. Il n'insiste pas, veut mon bien-être! On part. Il se met à me caresser les jambes dans la voiture. Sur le périph', je le fais s'arrêter sur une aire de stationnement/refuge, et lui demande de me baiser. Il s'éxécute. C'est sauvage et extrêmement jouissif, je dois tourner maso, j'aime qu'il me pénètre comme une bête. Puis il me raccompagne, me pose devant ma porte d'entrée, me propose de passer la nuit ici avec moi. Je le laisse partir, j'ai en bouche cette infâme odeur de sperme, et de caoutchouc...Mal partout, dos en feu, entrejambe aussi, mal à la tête qui tourne, je vois un peu double...
Mais putain, quelle soirée!!!!

3 commentaires:

Anonyme a dit…

C'était le quel de club? dis moi j'irais avec toi la prochaine fois!

David

Kinky a dit…

Pourtant on sent une pointe d'amertume dans ton récit...

esperanza a dit…

non ce soir-là, aucune amertume, du moins je crois pas... c'était vraiment une soirée hors norme, j'ai vraiment apprécié! sans amertume!